2 mai : Kendrick Lamar me montre plein de petits bouquins d’art qu’il a, et il me dit que son préféré (un artiste avec un prénom imprononçable et un nom de famille qui ressemble à Isimov) est un dessin gris et jaune avec des carrés et un couple qui s’embrasse.
4 mai : Je rêve que je suis à Paris, je ne sais pas pourquoi, dans un groupe de gens. Je m’éloigne pour me balader un peu, il y a un joli pont avec des saules. Mais alors que je passe sous un saule, il y a plein de petits coquillages dans les branches qui me tombent dessus (des petites coquilles d’escargots, surtout). J’en ai plein les cheveux.
16 mai : Une fille aux cheveux roses traîne avec une autre fille qui est un fantôme. Elle finit par se jeter par la fenêtre avec son carnet, ses stylos — on retrouve tout sauf son corps, qui a disparu : elle s’est changée en fantôme aussi. Parfois elle hante des feuilles de papier, mais ça ne marche bien que quand le papier a les bonnes proportions.
Fin juillet / 2 août : Je rêve que je suis dans la cuisine et que j'ai soudain très envie de faire pipi, sauf que je suis dans la cuisine et que je ne peux pas aller aux toilettes. Alors je fais pipi dans l'évier, sauf que je n'arrive pas à m'arrêter et l'évier se remplit de pipi vert (pourquoi vert ?). Du coup je continue à faire pipi sur la cuisinière et il y a plein de pipi vert dans la cuisinière, puis dans l'autre cuisinière à côté, je me dis oh là là ça va être pénible à nettoyer ça ! + Il y a une sorte de virus, ou de possession je ne sais pas, dans un village. Un petit gamin sympathique est infecté, ce qui est triste parce qu'il était sympathique, mais maintenant il faut le tuer et écrabouiller son corps pour qu'il n'en reste plus rien. Hélas, il reste une partie de son corps par terre dans le jardin, on dirait un axolotl coupé en deux qui bouge encore, j'ai peur et je dis qu'il faut s'en débarasser mais les autres disent que non, c'est bon. Je sais que c'est pas bon et qu'on va se faire infecter aussi si on reste là ! + Ensuite j'ai rêvé d'une école primaire allemande où les murs sont rouge brique.
10 octobre : J’ai rêvé que j’étais dans le sud de la France et que je visitais une… je ne sais pas trop, peut-être une citadelle, ou un lieu de culte d’une secte peu connue. C’est impressionnant, en pierre gris sombre avec une grande porte couverte, sur les murs on voit des sortes de médailles de cuivre, sur chaque médaille il y a une lettre hébraïque et il y a d’autres lettres en pierre aussi. Par moments ça me rappellerait presque une sorte de monastère tibétain mais en beaucoup plus « brut », avec là aussi des sortes de cloches côniques décorées, mais toujours des inscriptions en hébreu. On a une belle vue depuis un des balcons. On peut avoir l’impression de s’y perdre un peu.
27 octobre : Je suis sur un terrain de football où les joueuses n'ont qu'une jambe, et peut-être qu'un bras aussi. J'essaie de partir avant que le match ne commence pour ne pas me faire bousculer dans tous les sens, mais je ne sais pas par où il faut partir. Puis je rêve d'un château où une vielle femme, Vera Lynn, cherche à prouver à la reine qu'elle est la mère de je ne sais plus qui (quelqu'un d'important). Hélas, une grande femme est une impostrice et essaie de faire croire que c'est elle la mère, la vieille femme ne réussira pas à se faire entendre.
15 décembre : Georges Perec écrit une histoire où il se réincarne en nougat et parle à un singe.
23 décembre : Je regarde un grand arbre (un bouleau, peut-être) depuis en-dessous ; le tronc est clair avec des bosses, de la mousse. Une pluie parfaitement horizontale tombe dessus et l’eau ruisselle le long du tronc, qui commence à ressembler à de la pierre. C’est beau.
4 mai : Je rêve que je suis à Paris, je ne sais pas pourquoi, dans un groupe de gens. Je m’éloigne pour me balader un peu, il y a un joli pont avec des saules. Mais alors que je passe sous un saule, il y a plein de petits coquillages dans les branches qui me tombent dessus (des petites coquilles d’escargots, surtout). J’en ai plein les cheveux.
16 mai : Une fille aux cheveux roses traîne avec une autre fille qui est un fantôme. Elle finit par se jeter par la fenêtre avec son carnet, ses stylos — on retrouve tout sauf son corps, qui a disparu : elle s’est changée en fantôme aussi. Parfois elle hante des feuilles de papier, mais ça ne marche bien que quand le papier a les bonnes proportions.
Fin juillet / 2 août : Je rêve que je suis dans la cuisine et que j'ai soudain très envie de faire pipi, sauf que je suis dans la cuisine et que je ne peux pas aller aux toilettes. Alors je fais pipi dans l'évier, sauf que je n'arrive pas à m'arrêter et l'évier se remplit de pipi vert (pourquoi vert ?). Du coup je continue à faire pipi sur la cuisinière et il y a plein de pipi vert dans la cuisinière, puis dans l'autre cuisinière à côté, je me dis oh là là ça va être pénible à nettoyer ça ! + Il y a une sorte de virus, ou de possession je ne sais pas, dans un village. Un petit gamin sympathique est infecté, ce qui est triste parce qu'il était sympathique, mais maintenant il faut le tuer et écrabouiller son corps pour qu'il n'en reste plus rien. Hélas, il reste une partie de son corps par terre dans le jardin, on dirait un axolotl coupé en deux qui bouge encore, j'ai peur et je dis qu'il faut s'en débarasser mais les autres disent que non, c'est bon. Je sais que c'est pas bon et qu'on va se faire infecter aussi si on reste là ! + Ensuite j'ai rêvé d'une école primaire allemande où les murs sont rouge brique.
10 octobre : J’ai rêvé que j’étais dans le sud de la France et que je visitais une… je ne sais pas trop, peut-être une citadelle, ou un lieu de culte d’une secte peu connue. C’est impressionnant, en pierre gris sombre avec une grande porte couverte, sur les murs on voit des sortes de médailles de cuivre, sur chaque médaille il y a une lettre hébraïque et il y a d’autres lettres en pierre aussi. Par moments ça me rappellerait presque une sorte de monastère tibétain mais en beaucoup plus « brut », avec là aussi des sortes de cloches côniques décorées, mais toujours des inscriptions en hébreu. On a une belle vue depuis un des balcons. On peut avoir l’impression de s’y perdre un peu.
27 octobre : Je suis sur un terrain de football où les joueuses n'ont qu'une jambe, et peut-être qu'un bras aussi. J'essaie de partir avant que le match ne commence pour ne pas me faire bousculer dans tous les sens, mais je ne sais pas par où il faut partir. Puis je rêve d'un château où une vielle femme, Vera Lynn, cherche à prouver à la reine qu'elle est la mère de je ne sais plus qui (quelqu'un d'important). Hélas, une grande femme est une impostrice et essaie de faire croire que c'est elle la mère, la vieille femme ne réussira pas à se faire entendre.
15 décembre : Georges Perec écrit une histoire où il se réincarne en nougat et parle à un singe.
23 décembre : Je regarde un grand arbre (un bouleau, peut-être) depuis en-dessous ; le tronc est clair avec des bosses, de la mousse. Une pluie parfaitement horizontale tombe dessus et l’eau ruisselle le long du tronc, qui commence à ressembler à de la pierre. C’est beau.
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