, et je ne sais pas si c’est vraiment une bonne idée, vu à quel point je dessine mal (cf. ci-dessus et toutes les autres illustrations de ce blog) ! J’aime bien le style naïf et les bonhommes-bâtons, c’est pas le problème, mais je suis d’une maladresse pas possible (avec un crayon comme avec n’importe quoi d’autre), d’une fainéantise assez conséquente aussi, et je n’arrive absolument pas à me représenter des proportions correctes. Je suis capable de dessiner des bras littéralement six fois trop courts ou de faire varier la taille de mes personnages du simple au double de case en case sans m’en rendre compte. Oups !
Hélas, j’ai la flemme d’apprendre et de m’entraîner pendant des années, et surtout envie de dessiner cette histoire malgré tout, de la raconter maintenant. Ne serait-ce que pour moi. Envie de créer quelque chose et pas seulement de lire, de regarder et de commenter. Donc tant pis, je fais ça à la one again : une histoire improvisée qui ne tient pas debout, des gribouillages puérils aux proportions bancales, un coloriage fait au gros pinceau Photoshop dans des couleurs pastel vagues… (j’espère que les textes seront au moins lisibles !)
J’avais prévu de faire cinquante pages, au final ça sera sans doute plus près des soixante.
Si le résultat final est vraiment trop moche et illisible, je réécrirai peut-être ça en histoire illustrée. Quoi qu’il en soit, je n’aurai pas perdu mon temps — ne serait-ce que parce que c’est fun à faire !
Et quand j’aurai fini, j’essaierai de faire mieux. Plus court et mieux fait. Peut-être que si je persévère, si je m’y mets progressivement avec un peu plus de sérieux à chaque fois, j’arriverai à un résultat correct d’ici… quelques lustres ? On verra bien !
J’avais commencé à faire des BD au lycée — un truc vraiment nul, le degré zéro de la bande dessinée, mais déjà là, je m’amusais bien à les faire. C’était les aventures de la reine de la Nihilie, une contrée imaginaire où il n’y a rien. Et puis j’en ai fait deux-trois autres, les aventures de Joachim le chevalier, les aventures de Cybèle et Dolorès exploratrices de l’espace (que j’avais essayé de mieux dessiner — mais le résultat était encore pire que quand je m’en foutais totalement), et cætera.
C’est Marc, un pote du lycée qui fait de la chanson, qui m’a redonné envie de me remettre à la BD. Et je l’en remercie. Merci Marc !
Hélas, j’ai la flemme d’apprendre et de m’entraîner pendant des années, et surtout envie de dessiner cette histoire malgré tout, de la raconter maintenant. Ne serait-ce que pour moi. Envie de créer quelque chose et pas seulement de lire, de regarder et de commenter. Donc tant pis, je fais ça à la one again : une histoire improvisée qui ne tient pas debout, des gribouillages puérils aux proportions bancales, un coloriage fait au gros pinceau Photoshop dans des couleurs pastel vagues… (j’espère que les textes seront au moins lisibles !)
J’avais prévu de faire cinquante pages, au final ça sera sans doute plus près des soixante.
Si le résultat final est vraiment trop moche et illisible, je réécrirai peut-être ça en histoire illustrée. Quoi qu’il en soit, je n’aurai pas perdu mon temps — ne serait-ce que parce que c’est fun à faire !
Et quand j’aurai fini, j’essaierai de faire mieux. Plus court et mieux fait. Peut-être que si je persévère, si je m’y mets progressivement avec un peu plus de sérieux à chaque fois, j’arriverai à un résultat correct d’ici… quelques lustres ? On verra bien !
J’avais commencé à faire des BD au lycée — un truc vraiment nul, le degré zéro de la bande dessinée, mais déjà là, je m’amusais bien à les faire. C’était les aventures de la reine de la Nihilie, une contrée imaginaire où il n’y a rien. Et puis j’en ai fait deux-trois autres, les aventures de Joachim le chevalier, les aventures de Cybèle et Dolorès exploratrices de l’espace (que j’avais essayé de mieux dessiner — mais le résultat était encore pire que quand je m’en foutais totalement), et cætera.
C’est Marc, un pote du lycée qui fait de la chanson, qui m’a redonné envie de me remettre à la BD. Et je l’en remercie. Merci Marc !
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