vendredi 21 juillet 2017

Rêves (juin + juillet 2017)

6 juin 2017 : Je suis sur mon ordinateur. J'ai envie de dormir, mais il n'est que 0:10 et il fait encore grand jour dehors… Quelque chose flotte en l'air, vole et tombe sur le rebord de ma fenêtre. On dirait un grand mouton de poussière gris et allongé. Plus tard, il ressemble à une chenille monstrueuse avec une grosse tête. La chenille est dans ma chambre maintenant. Et se met à se changer en une espèce de loutre qui court partout. J'aimerais l'attraper pour la remettre dehors, mais je n'ose pas la prendre avec les mains. Je cherche un filet mais je n'en ai pas.






13 juin 2017 : Je visite Paris.

Il y a une grande place rectangulaire pavée en gris clair, avec plein de bâtiments connus, bien rangés les uns contre les autres. Il y a étonnamment peu de monde.

Je décide d'aller voir la cathédrale Notre-Dame en premier. Je ne sais plus pourquoi, j'ai une discussion/dispute avec le gardien (peut-être parce qu'il y a des gens importants qui visitent et ne veulent pas me voir… quelque chose comme ça).

À l'intérieur, l'horloge a été rénovée, avec un cadran en bleu marine qui indique 24 heures divisées en quatre groupes (comme dans certains pays asiatiques), en chiffres romains argentés — mais en Comic Sans MS, ce qui est assez peu fidèle au style du reste de la cathédrale. Le 6 est indiqué par un Λ. Le cadran indique donc I II III IV V Λ I II III IV V Λ I II III IV V Λ I II III IV V Λ.







13 juillet 2017 : Je suis en voyage en Chine.

Il y a un musée sur la culture Mongole avec plein d'antiquités. Un grand trou en forme de ◇ se trouve en plein milieu d'un couloir, si on ne regarde pas par terre on peut très facilement tomber dedans ; je manque de tomber, ou bien je tombe puis je reviens en arrière avant ma chute. (On voit l'étage inférieur éclairé à travers.)

En passant, mes cheveux frôlent un vase rouge. Le Mongol qui garde le musée (peu sympathique) prend une mine renfrognée et frotte énergiquement le vase pour le nettoyer. Mes cheveux ne sont pas si sales que ça pourtant, je les lave tous les deux jours.

Je sors du musée. Dehors (la rue est assez bondée) il y a un café pour lesbiennes avec comptoir et tables en bambou qui sert du mochi à la vanille dans des assiettes gris clair.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire