Voici Tim:
Tim part sauver la Princesse. Elle a été enlevée par un horrible monstre maléfique. Tout cela est arrivé parce que Tim a fait une erreur.
Pour retrouver la Princesse, Tim va devoir traverser plusieurs mondes remplis de plate-formes, de bêtes bestioles brunes qui courent dans un sens puis dans l'autre, de plantes carnivores qui sortent de tuyaux verts, etc., à la recherche de pièces de puzzle.
Certaines pièces sont difficiles à obtenir. Heureusement, Tim, ou plutôt vous, pouvez remonter le temps.
Remonter le temps ne sert pas simplement à réparer ses erreurs; remonter le temps est indispensable pour trouver la plupart des (toutes les ?) pièces. Certains éléments, auréolés de vert, sont insensibles à la remontée dans le temps, et dans certains mondes, le temps se comporte de façon étrange. Trouver comment obtenir les pièces peut être un vrai casse-tête.
Braid est autant un jeu de plate-formes qu'un jeu d'énigmes; on passe beaucoup de temps à réfléchir et à tester diverses solutions, mais l'exécution peut être délicate elle aussi.
Il n'y a pas de game over dans Braid : si Tim meurt, le temps se fige et il faut revenir dans le temps pour réparer l'erreur que vous avez faite. Il faut juste trouver comment obtenir les pièces.
Il y a soixante pièces de puzzle à trouver en tout. Si vous êtes perspicace, vous pouvez finir le jeu rapidement (trop rapidement pour certains), mais les énigmes sont, pour la plupart, très bien faites et d'une bonne difficulté. Il y en a des faciles (qui servent en général à introduire certains principes de jeu), une grande majorité de bien trouvées, quelques tordues, et juste une ou deux qui sont très tordues (si vous voulez regarder la soluce pour la dernière pièce du monde 2-2, “The Cloud Bridge”, ça n'est pas moi qui vous le reprocherai).
Braid est un jeu inventé par Jonathan Blow; les visuels du jeu — originaux et très réussis — sont créés par David Hellman, et les musiques — belles, élégantes, paisibles mais avec une certaine tension… elles vous resteront en tête longtemps — sont de Jami Sieber (principalement), Shira Kammen, Kammen & Swan et Cheryl Ann Fulton. L'ambiance du jeu est agréablement mélancolique.
Cependant, quand vous remontez le temps (et dans certains mondes où le temps ne se déroule pas normalement), la musique est affectée aussi, ce qui introduit une certaine dissonance. Dans un monde en particulier, cela devient limite intenable (c'est l'un des rares défauts du jeu).
Malgré ses quelques défauts, Braid est un excellent jeu que je recommande vivement. Vous pouvez d'ailleurs télécharger une démo gratuite.
Mais surtout, à la toute fin du jeu, on se rend compte que Braid est encore plus que tout ça. L'histoire de Braid, qui peut paraître anecdotique au premier abord, se révèle être complexe et plus marquante que la très grande majorité des scénarios de jeu vidéo (à ma connaissance, à l'heure où j'écris ces lignes, seul celui de Silent Hill 2 lui arrive à la cheville).
Plus encore: l'esthétique et les principes de gameplay de Braid, en plus d'être agréables en eux-mêmes, font partie intégrante du concept et de l'histoire du jeu.
Je ne vais pas m'étendre plus là-dessus, mais sachez que Braid est l'un des très rares jeux vidéo qui méritent vraiment qu'on les considère comme des œuvres artistiques à part entière, et pas juste comme des divertissements qui font preuve de créativité. Ça n'est pas qu'un bon jeu : c'est un jeu réellement marquant. L'un de ceux dont je me souviendrai encore longtemps.
Tim part sauver la Princesse. Elle a été enlevée par un horrible monstre maléfique. Tout cela est arrivé parce que Tim a fait une erreur.
Pour retrouver la Princesse, Tim va devoir traverser plusieurs mondes remplis de plate-formes, de bêtes bestioles brunes qui courent dans un sens puis dans l'autre, de plantes carnivores qui sortent de tuyaux verts, etc., à la recherche de pièces de puzzle.
Certaines pièces sont difficiles à obtenir. Heureusement, Tim, ou plutôt vous, pouvez remonter le temps.
Remonter le temps ne sert pas simplement à réparer ses erreurs; remonter le temps est indispensable pour trouver la plupart des (toutes les ?) pièces. Certains éléments, auréolés de vert, sont insensibles à la remontée dans le temps, et dans certains mondes, le temps se comporte de façon étrange. Trouver comment obtenir les pièces peut être un vrai casse-tête.
Braid est autant un jeu de plate-formes qu'un jeu d'énigmes; on passe beaucoup de temps à réfléchir et à tester diverses solutions, mais l'exécution peut être délicate elle aussi.
Il n'y a pas de game over dans Braid : si Tim meurt, le temps se fige et il faut revenir dans le temps pour réparer l'erreur que vous avez faite. Il faut juste trouver comment obtenir les pièces.
Il y a soixante pièces de puzzle à trouver en tout. Si vous êtes perspicace, vous pouvez finir le jeu rapidement (trop rapidement pour certains), mais les énigmes sont, pour la plupart, très bien faites et d'une bonne difficulté. Il y en a des faciles (qui servent en général à introduire certains principes de jeu), une grande majorité de bien trouvées, quelques tordues, et juste une ou deux qui sont très tordues (si vous voulez regarder la soluce pour la dernière pièce du monde 2-2, “The Cloud Bridge”, ça n'est pas moi qui vous le reprocherai).
Braid est un jeu inventé par Jonathan Blow; les visuels du jeu — originaux et très réussis — sont créés par David Hellman, et les musiques — belles, élégantes, paisibles mais avec une certaine tension… elles vous resteront en tête longtemps — sont de Jami Sieber (principalement), Shira Kammen, Kammen & Swan et Cheryl Ann Fulton. L'ambiance du jeu est agréablement mélancolique.
Cependant, quand vous remontez le temps (et dans certains mondes où le temps ne se déroule pas normalement), la musique est affectée aussi, ce qui introduit une certaine dissonance. Dans un monde en particulier, cela devient limite intenable (c'est l'un des rares défauts du jeu).
Malgré ses quelques défauts, Braid est un excellent jeu que je recommande vivement. Vous pouvez d'ailleurs télécharger une démo gratuite.
Mais surtout, à la toute fin du jeu, on se rend compte que Braid est encore plus que tout ça. L'histoire de Braid, qui peut paraître anecdotique au premier abord, se révèle être complexe et plus marquante que la très grande majorité des scénarios de jeu vidéo (à ma connaissance, à l'heure où j'écris ces lignes, seul celui de Silent Hill 2 lui arrive à la cheville).
Plus encore: l'esthétique et les principes de gameplay de Braid, en plus d'être agréables en eux-mêmes, font partie intégrante du concept et de l'histoire du jeu.
Je ne vais pas m'étendre plus là-dessus, mais sachez que Braid est l'un des très rares jeux vidéo qui méritent vraiment qu'on les considère comme des œuvres artistiques à part entière, et pas juste comme des divertissements qui font preuve de créativité. Ça n'est pas qu'un bon jeu : c'est un jeu réellement marquant. L'un de ceux dont je me souviendrai encore longtemps.
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